En tout cas, selon les informations, le non-respect des accords signés le 10 janvier 2019 entre le gouvernement et le Syndicat Libre des Enseignants de Guinée SLECG, serait la cause principale  de la reprise  des manifestations pour toujours continuer avec la réclamation de leurs droits. C’est sur sa page Facebook que le Bureau exécutif du syndicat dirigé par Aboubacar Soumah, l’a fait savoir ce mercredi 27 février dans les environs 23 heures, demandant à tous ses généraux de partout, de se tenir prêts. Et donc, à partir de demain vendredi, 1er mars, cette autre branche syndicale menace encore de déclencher une grève générale et illimitée.

Ci-dessous, lisez plutôt cette annonce du SLECG, publié sur sa page Facebook :

Le Bureau Exécutif National du SLECG informe l’ensemble des Enseignantes et Enseignants de Guinée de prendre toutes les dispositions nécessaires à compter du 1er Mars 2019 pour une nouvelle grève générale et illimitée qu’il déclenchera d’ici une semaine sur toute l’étendue du territoire nationale.

Vu le refus catégorique du gouvernement de respecter le protocole d’accord du 10 Janvier 2019.

Par conséquent, le Bureau Exécutif National du SLECG prend en témoin les Parents d’élèves, les élèves, l’opinion nationale et internationale des agissements du gouvernement qui ne ménage aucun effort dans le but de satisfaire à la revendication du SLECG.

Par la même occasion, le Bureau Exécutif demande à tous ses généraux des structures à la base de resserrer les rangs et de se tenir prêts.

Pour le Bureau Exécutif National