Le procès abritant les leaders du Front National pour la Défense de la constitution s’est ouvert ce mercredi, 16 octobre 2019 au tribunal de première instance de Dixinn. Avec un tribunal cerné d’hommes en tenue, les journalistes traînés dans la plus grande humiliation, non pas eu accès non seulement à la cour du tribunal, mais aussi à la salle d’audience.
Le tribunal de première instance de Dixinn garni d’un bon nombre de policiers armés de violence rare. Les journalistes bloqués à l’entrée, ont tenté à multiples reprises d’accéder à la salle d’audience pour être au bain de l’information concernant le jugement des leaders du FNDC arrêtés, inculpés et déférés récemment à la maison centrale. Abdourahmane Sanoh, Sékou Koundouno et Cie ont fait leur première comparution publique pour répondre des accusations mises à leur charge et qui renvoient sur l’incitation à la révolte et beaucoup d’autres chefs d’accusation.
La nouveauté cette fois-ci encore rime sur l’humiliation des journalistes reporters qui sont traînés dehors et très loin du tribunal, et non pas eu accès toute la matinée. Pendant ce moment, l’audience suit son cours normal.
Mohamed Bah Pour maguineeinfos.com