Cyril Ramaphosa a été forcé par les protestations des députés des Combattants pour la liberté économique (EEF) de Julius Malema d’attendre 90 minutes avant son adresse à la nation.
Les élus de l’EFF avaient demandé auparavant que Fréderick De klerk, le dernier président du régime d’apartheid, qui avait partagé un prix Nobel de la paix avec Nelson Mandela, sorte du parlement parce qu’il ne s’était pas « repenti » sur l’apartheid.
Le président Cyril Ramaphosa a déclaré que les finances publiques sont soumises à de fortes pressions.
Le chef de l’Etat sud-africain a aussi blâmé les pénuries d’électricité persistantes qui ont occasionné la crise économique que vit le pays.
Le chef de l’État s’est néanmoins voulu optimiste en annonçant des mesures pour redresser l’économie. Il s’agit de la création d’un fonds souverain et la mise en place d’une banque d’État pour étendre l’accès aux services financiers.
D’autres mesures comme la construction d’une ville intelligente, la libéralisation du commerce du cannabis thérapeutique ont été annoncées.
BBC