La rencontre a lieu ce jeudi, 05 mars 2020 dans la salle de réunion de l’institut national de santé publique. Objectif, parler des mesures préventives contre le COVID 19 qui continue à secouer le monde e5 faire des victimes au quotidien.

Ils étaient nombreux ces hommes de médias à afficher leurs inquiétudes ardentes face à la flambée de l’épidémie Coronavirus qui ne fait que endeuiller des familles sur les cinq continents.

Cette rencontre qui consistait à faire connaître les mesures prises pour contrecarrer ce nouveau Coronavirus à permis les cadres de cette structure sanitaire de mettre sous l’éclat des projecteurs, les outils arguments nécessaires pour empêcher le virus de loger en République de Guinée.

« Pour les intrants, je peux vous rassurer que pour ce qui est du diagnostic parce qu’aujourd’hui, il n’y a aucun cas diagnostiqué, c’est une phase d’alerte. Pendant la phase d’alerte, nous avons suffisamment de réactifs, nous avons les équipements et de protection individuelle pour le diagnostic. Avec l’institut national de santé publique, l’institut pasteur et le CREMS, nous avons entre 1500 à 1800 tests possibles « , informe le directeur général dudit institut de santé publique, Professeur Abdoulaye Touré.

Au delà de ces mesures, le débat a été tourné sur les plans et stratégies de communication pour éviter la panique au sein de la population. Des cas confirmés positifs au COVID 19 se multiplient au Sénégal qui partage la frontière avec le pays. Une situation face à laquelle, les autorités sanitaires trouvent de quoi s’inquiéter et invitent les journalistes à s’impliquer pour chasser la psychose loin des citoyens.

 » le Sénégal est à côté de nous, et vu cet angle, nous demandons aux journalistes beaucoup plus de sensibilisation de la population pour éviter de la panique  » , poursuit-il avant de revenir sur l’existence des sites sentinelles pour des mesures de prévention.

BAH Mohamed
Pour maguineeinfos.com