Le Procès des massacres du 28 septembre au renvoi au 10 octobre prochain pour le délibéré lié aux exceptions exposées par la défense. Aussitôt, l’ancien président a fait piqué une colère comme il en a l’habitude de faire dans le passé. Devant les parties au procès, Moussa Dadis Camara s’est « opposé » à son retour en prison, après avoir vu le procès renvoyé. Ne cachant pas sa colère dans la salle d’audience, l’ancien chef de la Junte a été calmé par ses avocats et proches.

Il a fallu quelques langages de moraliser, pour que Moussa Dadis Camara accepte de retourner une nouvelle fois à la maison centrale.