L’alerte a été faite dans la la matinée de ce mardi 4 juin par le collectif des avocats de Sékou Jamal Pendessa, à travers une déclaration.
Selon ses avocats, les menaces ont commencé depuis le 22 mai dernier, jour de la conférence de presse animée par le SPPG, à la maison de la presse pour désapprouver la mise en place d’un organe d’autorégulation de la la presse et en même temps dénoncer le retrait des agréments de certains médias.