En réunissant les différentes fédérations et associations du cinéma guinéen, le Directeur Général de l’ONACIG, Amara Traoré, amorce une ère nouvelle, marquée par le dialogue, la cohésion et une vision partagée du futur du 7e art en Guinée.

Pendant de longues années, le cinéma guinéen a souffert de la division de ses structures représentatives. Multiples fédérations, associations rivales, ambitions divergentes… autant d’obstacles à l’émergence d’un secteur organisé, cohérent et structuré.

Mais aujourd’hui, un vent nouveau souffle sur la scène cinématographique guinéenne.

Le Directeur Général de l’Office National du Cinéma, de la Vidéo et de la Photographie de Guinée (ONACIG), Amara Traoré, a initié une démarche inclusive, audacieuse et profondément humaine : réunir autour d’une même table l’ensemble des acteurs du secteur. Une initiative saluée comme historique par de nombreux professionnels, dont certains expriment avec humour l’ambiance détendue et sincère qui a marqué ces retrouvailles.

« Le DG nous a réunis dans un espace cool, et dans un style très humain, il a lancé : ‘Si le chef rebelle des cinéastes est là, c’est que la cause est gagnée !’ », raconte avec le sourire un acteur bien connu du public.

Mais au-delà de la plaisanterie, les propos du Directeur Général ont su convaincre : une vision claire, des objectifs concrets, et surtout une foi inébranlable dans le potentiel du cinéma guinéen. Pour la première fois depuis longtemps, une dynamique d’unité semble véritablement en marche.

Ce succès n’est pas le fruit du hasard. Il s’inscrit dans la continuité du choix opéré par le Ministre de la Culture, du Tourisme et de l’Artisanat, M. Moussa Moïse Sylla, dont le flair pour les talents et les hommes de terrain s’est encore une fois confirmé. Le Ministre a misé sur un profil à la fois artistique, stratégique et rassembleur. Et Amara Traoré prouve jour après jour que ce pari était le bon.

Le cinéma guinéen écrit une nouvelle page. Et cette fois, c’est ensemble qu’il avance.