On ne peut passer tout notre temps à parler du dialogue social, politique inclusif et se mettre en idée que nous serons les seuls sur la table pour parler de tout le monde. Je ne vois pas le Mal que d’autres acteurs où secteur soit invités à discuter des problèmes qui assaillants leur secteur d’activité, puis que chacun est maître de son domaine.

Donc, il faut qu’on soit objectif et ouvert, ce dialogue doit être différent des autres accords que nous avons connus dans le passé et qui nous ont beaucoup coûtées. Nous ne devons pas fuir nos responsabilités, nous sommes en avance par rapport aux revendications et c’est bien de cela il s’agit,  donc nous devons  œuvrer dans ce sens, la libération des détenus politiques, la liberté d’expression, les restrictions des voyages des uns et autres et l’ouverture des frontières, voilà entre autres ce qui doit nous préoccuper.

Ibrahima Keita
Activistes Politique
Responsable de la jeunesse de LUDRG, chargé des relations avec la société civile et des mouvements de jeunesse.