Abdoulaye sylla, puisque c’est lui il s’agit, est un jeune écrivain de nationalité guinéenne, vivant au Sénégal. Âgé d’une vingtaine d’années, il a après son baccalauréat, rejoint le Sénégal dans la quête du savoir. Passionné des chiffres, des sciences exactes, il est inscrit à l’Université Catholique d’Afrique de l’Ouest où il prépare sa licence en gestion économique et sciences informatiques. Il est également autodidacte en intelligence économique, entre autres.
Passionné de débats, de contradictions, le jeune écrivain n’hésite pas de remettre en cause et de questionner des ordres préétablis, justement lui, le croît et sait que le doute et le questionnement sont au centre de la recherche de la vérité.
Son idéalisme crée à la fois autant d’adversaires que d’admirateurs, justement le paradoxe d’un incompris, comme dans toute autre ligne qui prend de l’élan.
Ayant différemment servi son Université, il a aussi dirigé pendant une année le bureau des étudiants de l’UCAO/Saint Michel en tant que vice-président à l’organisation, avant de rejoindre l’AEESGS où il est actuellement le responsable de la communication de ladite institution.
Activiste, il est aujourd’hui engagé avec plusieurs ONG panafricaines pour promouvoir l’idée que l’Afrique est à la fois berceau de l’humanité et du savoir.
Dans son esprit d’écrivain, Abdoulaye Sylla a déjà mitonné deux œuvres littéraires.
Dans son premier ouvrage intitulé « la Domestication », il questionne la conscience des idées reçues, décrypte la condition de l’être humain par son éducation, dénonce le mépris de l’intelligence au profit des dogmes religieux dans les sociétés humaines en général et plus particulièrement en Afrique.
De son courage et de sa force des idées, il ne doute point à remettre en cause les enjeux de la religion, du système éducatif, des codes sociaux dans les sociétés Africaines.
Quelques mois après la publication de son premier ouvrage, l’auteur publie le second, intitulé » Une lettre à ma Mère « , dans lequel il exprime son amour et remerciement envers sa Mère et à toutes les mamans du monde entier.
