Lors d’une conférence de presse animée par la structure ‘’ La Jeunesse CEDEAO Guinée’’, le président de l’Observatoire Citoyen de Défense des Droits de la République, OCDR, compte accompagner toutes structure qui œuvre pour la lutte de tout cas de violences en Guinée. Quel que soit la forme, cet homme de droit pense que ces comportements doivent être punis car, considérés comme des actes anti démocratique et anti républicaine.
Les violences enregistrées ces derniers temps en Guinée, préoccupent les acteurs de l’organisation de la société civile guinéenne, mais aussi les juristes et ONG. Invité ce lundi lors de la conférence sur la ‘’problématique des violences en Guinée’’ : cas de Wannidara, le juriste Mamady 3 Kaba a promu d’accompagner toutes organisations de la société civile dans la recherche de la vérité pour punir les auteurs et commanditaires des actes ignobles causés surtout lors des manifestations. « Il faut reconnaître que la lutte qui est en train d’être menée par La Jeunesse CEDEAO Guinée’’ est une lutte commune. Alors toutes les organisations de la société civile doivent se reconnaître dans cette lutte », a dit le président. Pour lui, c’est autant dire que La Jeunesse CE DEAO doit être rassurée de l’accompagnement de toutes les autres structures de l’organisation de la société civile car l’organisation à laquelle il se trouve à la tête est aussi préoccupée par ces violences. C’est pourquoi il pense que toutes violences quel que soit la forme, physique ou verbale, est a condamnée et doit être condamnée. « Les commanditaires de ces actes doivent être punis conforment au code pénal. Les biens qu’ils soient publics ou privés, appartiennent à la nation toute entière. Alors il est tant qu’on change cette mentalité car ces engins, ces édifices n’appartiennent ni au président ni au gouvernement mais plutôt au peuple de Guinée. Alors c’est le lieu et temps que chacun change cette mentalité », lance-t-il. En fin, Mamady 3 Kaba et Aboubacar Dorah KOITA, Président National de ‘’La Jeunesse CEDEAO Guinée’’, pensent que détruire les biens des citoyens, c’est détruire nos propres biens. C’est pourquoi, ils sollicitent auprès des procureurs de s’auto saisir des dossiers des événements qui touchent surtout la société en générale pour que les auteurs soient punis tel que prévu par le code pénal.
Pour maguineeinfos.com,
Sâa Robert Koundouno