Sékou Jamal Pendessa a fait ses premières nuits à la maison centrale de Conakry. Malheureusement, son procès peine à s’ouvrir et sa libération n’est toujours pas effective. Ce qui représente une violation flagrante des articles 461 et 462 du code de procédure pénale.

Dans une déclaration signée ce 26 janvier 2024, le collectif des conseils du journaliste exige la libération du syndicaliste.