Mohamed lamine TOURE est le nom de la victime. Chauffeur de son état, il était, selon ses parents biologiques, atteint d’une maladie dont-ils n’ont pas voulus dire l’origine. Retrouvé mort ce mardi 6 août à la rentrée d’un bâtiment inachevé dans le quartier abattoir III, le jeune défunt laisse les observateurs dans un flou suspect.
Pour les premiers arrivés sur le terrain, l’hypothèse d’un suicide semble être très faible. Car, selon eux, la victime n’avait aucune chance d’arrivée à se pendre avec la qualité de la corde retrouvée au cou. Mais surtout, la trentaine retrouvée presque arrêtée sur les deux pieds, ne pouvait se suspendre au pilier en béton de la rentrée principale pas suffisamment haut.
Interrogé sur l’état de santé de son fils, Ibrahima Sory TOURE révèle que la victime souffrait bel et bien d’une maladie qui, selon lui, a obligé la famille à le soumettre à un traitement conséquent dans une structure hospitalière de la place. A en croire toujours le papa, le défunt proférait dans la nuit du lundi, des menaces de suicide. Chose qui avait interpellé la famille TOURE précise-t-il.
Informé très tôt le matin, le chef de quartier, au micro de la presse locale, reste imprécis sur l’origine du décès. Aucune trace d’agression ni de lutte n’était visible sur le corps de la victime. Suicide ou homicide ? Pour le moment, difficile d’y répondre.
Pour maguineeinfos.com,
Aboubacar Wayé TOURE depuis Kindia