Sekouba Kandia Kouyaté avait-il divorcé avec son épouse Sona Tata Condé avant qu’il ne se trouve une seconde ? La réponse est négative selon l’artiste. Interrogé sur la polémique entre lui et sa première qui a occupé la Une ces derniers temps en Guinée, le musicien a apporté des précisions chez nos confrères de West Africa TV.

Lire Ci-dessous, un extrait de sa réaction!

« Je n’ai pas chassé ma femme, je ne l’ai pas divorcé. Là ou je suis parti me marier, cette famille noble aussi qui est de Hadja Sona et d’Elhadj Morissanda, nous sommes liés, c’est ma famille. 25 ans de mariage, ce ne sont pas 25 jours, mes enfants ont grandi. Je me suis sacrifié pendant toute ma vie pour protéger mes enfants et ma femme, en payant les études, dans les écoles les plus chères pour mes enfants. Depuis que ce problème a commencé, je n’ai jamais parlé et je ne vais pas parler. Ma femme, on s’est éloigné pendant un an, elle n’était pas dans la famille. D’autres pensent que c’est parce que j’ai épousé une femme, je pouvais épouser pendant que ma femme était là, ma femme était partie déjà pendant un an. Je ne voulais pas épouser deux femmes dans ma carrière.

Je ne voulais donc pas épouser deux femmes, je le disais devant ma belle-mère Hadja Sona (paix à son âme). Nous étions au salon un jour, ma femme était là à côté avec mon 2è garçon qui était bébé. J’ai dit que moi je ne veux pas épouser deux femmes dans ma vie. Elle (ma belle mère) m’a pietiné, et mis son pied sur le mien, me faisant signe. Après, elle a commissionné sa fille (Sona Tata) qui est sortie du salon. Du coup, elle m’a dit ceci : « Il ne faut jamais dire ce mot devant ta femme, ne dis jamais devant ta femme que tu ne vas pas épouser deux femmes ». Cette femme (Hadja Sona) m’aimait au fond et elle m’a aimé. C’est dans notre relation que Sona Tata m’a découvert. J’étais en plein succès de mon premier album et le deuxième même. Ma femme, je la respecte, je respecte sa famille et je me respecte. Je leur dois comme ils me doivent aussi. Mais je reste humble, serein, je ne suis pas un ingrat. Je ne suis pas également un homme faible du tout. Regardez moi très bien et fouillez dans mon parcours, on ne peut pas falsifier l’histoire. Je reste tel que je suis, je respecte tout le monde. Tous ceux qui ont parlé de mal à mon endroit, je les respecte et je les remercie, car ça m’encourage à fournir plus d’efforts et à travailler de plus. Aujourd’hui, les réseaux sociaux ont semé beaucoup de pagailles en Guinée. Ils sont en train de faire leur boulot, mais en faisant ton boulot, il faut avoir des renseignements sûrs ».

Propos décryptés par Ibrahima Kamara