D’entrée, je présente mes excuses à ceux que j’ai offensé par mes communications récentes, lors des quelles, je reconnais avoir, par moment, manqué d’humilité.
Cela était une conséquence de ma colère face aux agissements malsains de certains compatriotes.
Maintenant que le temps m’a permis de soigner mes plaies, il faut que je parle.
Ah oui, il faut que je parle, il faut que je parle pour la postérité et la dignité. Oui, Il faut que je parle, il faut que je parle pour éclairer la lanterne de ceux qui veulent connaître la vérité dans l’impartialité. Il faut que je parle, il faut que je parle pour mon honneur, celui de ma famille, de mes admirateurs et admiratrices, mais non pour répondre les personnes à la recherche de notoriété ou de leadership dans la fourberie, l’intoxication, la diffamation, les médisances et les iniquités proférées.
1 – LE DÉPART DES CHOSES CSK group-UDIR
C’est en décembre 2018, que j’ai été contacté par M. Bouya KONATE me déclinant sa volonté de faire la politique conformément à mes attentes (démocratie participative et inclusive) au sein d’une formation politique.
Chemin faisant, le sieur et ses amis lançaient un appel d’offre pour la rédaction d’un projet de société. Après les offres et exposés de plusieurs cabinets, l’exposé de CSK – group sur les différents secteurs de développement face à des personnes qui ont été pourtant formées aux USA, au Canada et en Europe… Ils ont dit en ma présence : << c’est le meilleur exposé avec un réel plan de développement >>.
M. Bouya KONATE m’a appelé quelques jours après pour me dire : << tout le monde était d’accord que ton exposé était très brillant malgré tes réserves sur certains points. Faites-nous vos offres >>.
2 – LE CONTRAT CSK group-UDIR
Après toute discussion, notre dernière offre (la lettre de l’offre circule) était 250 millions gnf dont 60 % du montant (soit 150 millions gnf ) à payer pour commencer la production et livrer les 60 % du travail sans délai par rapport à la date de livraison. Ainsi, nous avons scellé un contrat SYNALLAGMATIQUE, contrat dans lequel toutes les parties sont obligées de respecter leur part de contrat. Au cas où une partie ne respecte pas sa part d’engagement, l’autre n’a aucune obligation de travailler ou de livrer même une virgule.
Par ailleurs, il a été dit dans le contrat, qu’à chaque fois qu’ils trouveraient des anomalies dans les travaux livrés pour observations, de nous les signaler pour que le cabinet tienne compte pour y remédier dans le document final.
Quelques temps après, ils ont payé 49 200 000 entre fin Mars et début Avril (reçu qui circule) tout en sollicitant ma collaboration politique (intégration du parti) avec toutes les garanties démocratiques.
A leur proposition, j’ai répondu vouloir observer l’évolution des choses ensuite j’aviserai. Et pendant ce temps, nous engagions les avances auprès des spécialistes pour le travail comme défini dans le plan du travail.
3 – LE NON RESPECT DES OBLIGATIONS CONTRACTUELLES PAR LE PARTI UDIR
Malgré que le cabinet n’avait pas reçu le montant des 150 millions représentants les 60 % des 250 millions à payer, il s’est donné la volonté de fournir un premier travail pour avis ( le mail fait foi ) qui a été jugé << bien >> selon les contractants de CSK group, un deuxième travail fourni par les collaborateurs du cabinet, et le cabinet à son tour a aussi fourni ce travail ( pour avis ) qui a été jugé << bien >> selon nos contractants ( email à l’appui ).
Des jours passèrent…
Nous avons essayé de faire en sorte que nos contractants nous paient le reste des 60 % comme prévu, en vain…
C’est après plusieurs mois, que nous avons reçu des paiements par tranche (20 millions gnf, 20 millions gnf, 6 millions cinq cent mille gnf et 600 dollars) pour qu’on honore nos engagements envers nos collaborateurs.
4 – LA CESSION DU PARTI UDIR PAR LES ANCIENS MEMBRES DU CONSEIL NATIONAL (organe suprême de décision ) AUX NOUVEAUX MEMBRES POUR SON BON FONCTIONNEMENT
Entre le mois d’avril et octobre 2019, deux procès-verbaux ont été faits et signés par les membres fondateurs du parti pour cession, changement de nom etc… sans que ceux-ci n’arrivent au Ministère de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation. Chose que je leur ai reproché.
5 – MON ADHÉSION A UDIR EST INTERVENUE 10 MOIS APRES LE CONTRAT SANS QUE CELA NE POSE DE PROBLÈMES TANT QUE JE RESTAIS LE GENTIL TOUTOU
C’est en fin septembre que j’ai donné mon accord d’adhésion définitif à UDIR (qui ne trouvait aucune incompatibilité dûe à la collaboration CSK group – UDIR) après plusieurs démarches auprès de moi par ses membres avec toutes les garanties de transparence, de démocratie, de méritocratie…
Je suis arrivé avec de nombreux jeunes qui avaient promis de faire la politique avec moi. Chemin faisant, j’ai mis un local, grâce à mon réseau, à la disposition du parti comme siège provisoire afin de mener à bien ses activités.
Tout semblait normal jusqu’à ce niveau.
Des propos insinués ont commencé à se faire persistants au fur et à mesure que les choses avançaient et que de plus en plus de membres avaient de l’admiration pour Mory KABA.
Ainsi, les autres membres m’ont, dans leur écrasante majorité, conseillé ceci: << va voir Bouya KONATE humblement, pour lui dire de te laisser conduire le parti dans l’intérêt du parti. Pour l’instant, nous ne voyons pas mieux placer pour diriger ce parti que toi >>.
Je suis donc allé le voir chez lui comme me l’a recommandé ces personnes, mais j’ai quitté sans réponse.
Une seconde fois, sur insistance des membres du parti, j’ai encore quitté sans réponse.
Une troisième fois, j’eu comme réponse << si on va aux élections, malgré ce à quoi tu crois, je vais te battre >>.
J’ai quitté sur ces mots et j’ai fait le compte rendu à ceux qui voulaient que je mène cette démarche.
6 – AFFAIRE DE PLAGIAT D’UNE PARTIE (15 % environ) DU PROJET DE SOCIÉTÉ
Un collaborateur de CSK group a livré (par mail) une partie du travail qui lui a été confiée, et CSK group a livré ce travail au parti pour observations comme il a été dit dans le contrat de base (observer les anomalies et nous les faire parvenir pour corriger et avancer) et ce, malgré que le parti n’avait pas encore respecté sa part d’engagement de 60 % du montant soit 150 millions gnf vis à vis du cabinet.
C’est ce travail livré à CSK group, parvenu au parti pour observations, qui s’est révélé être un plagiat.
CSK group a dit prendre note et a promis de les remonter à son partenaire rédacteur de cette partie du projet de société.
Malgré tout, certains membres du parti UDIR ont voulu se servir de cet incident comme moyen de chantage et de pression pour que le cabinet livre la totalité (100 % du projet de société ou rompe le contrat) du travail sans même payer les 60 % du montant du contrat de base, à plus forte raison les 100 %. Ainsi, le cabinet CSK group a montré les travaux colossaux sur clé, mais a exigé le paiement comme indiqué dans le contrat.
J’assume entièrement ce qui est arrivé sur cette partie du projet de société même si je ne suis pas celui qui a commis l’acte répréhensible.
J’ai manqué de rigueur compte tenu de ma confiance en l’homme et mes mouvements d’alors.
Modestie à part, il y a très peu d’homme que je peux copier sur cette terre, je ne suis pas détenteur de la science infuse, mais mes maigres connaissances me permettent depuis une vingtaine d’année de vivre de mes productions intellectuelles.
7 – LE DERNIER PROCÈS VERBAL DES ANCIENS MEMBRES DU PARTI (cession définitive aux nouveaux ) POUR LA MISE EN PLACE DU COMITÉ AD-HOC (Assemblée Constituante pour toutes les décisions ultérieures ) ET DE L’ÉLECTION DU : CHARGÉ DE CONDUIRE LES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES ( première personnalité provisoire du parti ) JUSQU’AU CONGRÈS
Le mardi 24 décembre entre 19 h 30 et 22 h, s’est déroulé sous l’ordre du jour suivant:
Lecture et validation de l’ordre du jour,
Lecture, amendements et validation du document « Fondements du Comité Adhoc »
Election du coordinateur chargé de conduire les élections et du secrétaire permanent.
Ces différents points ont conduit à la prise de parole des candidats pour expliquer pourquoi ils veulent diriger le parti jusqu’au congrès après les législatives.
Le premier intervenant (après tirage au sort) a été Mory KABA, qui a proposé 4 lois en faveur des citoyens et une pour contrôler l’action gouvernementale en 3 mn.
Bouya KONATE, deuxième intervenant, a parlé de son expérience lors de la transition de 2010 sous le Général Sékouba Konaté, des travaux d’assainissement menés dans sa commune avec son organisation « LA RUPTURE » et de son refus d’accepter le décret (directeur général du port autonome de Conakry ) pour prouver son intégrité.
Le troisième intervenant Famory MAGASSOUBA, se basant sur sa jeunesse et son expérience politique antérieure avec le bureau de la jeunesse du PDG-RDA.
8 – LES COULISSES D’UNE ELECTION SOUS TENSION
Les trois candidats (Mory KABA, Bouya KONATE et Famory MAGASSOUBA) sortirent en dehors de la cour afin que les opérations de vote se poursuivent.
Mr Bouya KONATE, celui qui prône pourtant la rupture, une nouvelle façon de faire la politique, qui dit combattre les hommes dits « providentiels », qui prône la démocratie participative au sein de UDIR, qui m’a donné toute l’assurance que le vote se déroulera dans le fair play,…. par crainte de son échec futur à cette élection m’apostropha en ces mots (Famory MAGASSOUBA en est témoin): << Mory, tu devrais me respecter au moins, tu veux maintenant me prendre mon parti ? >>
<< Je sais que tu veux être à la tête de ce parti pour combattre Siaka Barry >>.
Ma réplique ne tarda pas à venir.
Je l’ai informé de la vieille et sincère amitié qui me lie à Siaka Barry. Une amitié qui va au-delà de la politique que des personnes plus futées que lui ne parviendront pas à briser. Ainsi, il continuait dans toute sa colère pendant que Famory MAGASSOUBA le consolait.
Fâché, je voulus entrer pour dire que je me retirais du processus de vote et de ce parti dans lequel je ne retrouve pas les valeurs qui sont miennes.
Un membre, M. Fulgence est venu m’arrêter et me prier de ne pas démissionner.
Je me suis demandé de quoi Bouya KONATE avait peur avant la proclamation des résultats finaux de cette élection ????
Peut-être de sa défaite !!!!
Soudain, on nous ordonna de rejoindre l’enceinte.
Les résultats après dépouillement :
Mory KABA 20 voix,
Bouya KONATE 12 voix,
Famory MAGASSOUBA 2 voix.
Donc, Mory KABA est désormais élu Coordinateur Chargé de Conduire les Élections Législatives du parti UDIR et premier responsable du parti jusqu’à l’organisation prochaine du congrès (le procès-verbal en fait foi).
Et par la même occasion, il a été décidé à l’unanimité de choisir Mr Bouya KONATE comme secrétaire permanent du parti jusqu’à l’organisation du congrès.
C’est ainsi que j’ai remercié dans nos différents groupes WhatsApp, Messenger ainsi que sur mon mur Facebook (preuves sur Messenger, WhatsApp et mon mur Facebook) ceux qui m’ont élu ainsi que tous les membres du parti.
9 – LE 27 DÉCEMBRE 2019, DATE LIMITE DE DÉPÔTS DES CANDIDATURES, DIFFICULTÉ DE CHOIX DE NOTRE TETE DE LISTE
Etant la seule personne élue du Comité Ad hoc en charge de conduire les élections et étant de facto la première personnalité du parti, je commence tout naturellement par mettre mon nom comme tête de liste, Bouya KONATE voyant cela vint m’apporter une fiche vierge dans une colère encore inouïe, en me disant : << Mory, enlève ton nom >>. Je lui réplique : pourquoi ? Il réplique : << dis-moi si c’est mon parti que tu veux me prendre ? >>. Je lui dis : ah bon ton parti ? Il dit : << oui >>. Plus loin il dit : << Nni nfa sou tè je ne céderai pas la tête de liste, ou on gâte tout >>. Voilà les termes de celui qui veut faire la politique autrement que les << vieux >> qu’ils accusent et veulent remplacer. Là toujours dans des échanges houleux devant Moussa Condé Le Bon, Famory MAGASSOUBA, Chérif Haidara, Imourane Traoré ; Bouya Konaté.
Après de houleux échanges, ils trouvèrent comme dernier arguments : << Bouya KONATE peut négocier à SEKOUTOUREYA afin que nous ayons quelques députés >>. Abasourdi, j’ai dit : si je vais à une élection pour négocier ma rentrée malhonnête et lâche à l’Assemblée, je suis désolé. Même si j’ai aussi des relations à SEKOUTOUREYA ou possibilité, je trouve cette démarche infâme. Je ne peux pas crier rupture, changement, faire la politique autrement devant les guinéens et les tromper.
<< Même si on dit qu’en politique il n’y a pas de morale, mais la politique ne peut aussi se faire sans elle >>.
Condéba était abasourdi et a claqué la porte.
Famory MAGASSOUBA a dit : << je suis désolé, si on va à ces élections législatives pour aller négocier à SEKOUTOUREYA. Je suis opposé à toute démarche allant dans ce sens >>.
C’est dans cette foulée, que la CENI annonça la prorogation des dépôts au lundi 30 (72 h de plus).
Nous nous dispersâmes sans tirer le problème au clair.
Ainsi le samedi, Cherif Haidara est venu me voir avec des doléances de laisser la tête de liste à Bouya KONATE pour pas tout chamboule. Il m’exhorta à utiliser mon << humilité habituelle, ma grandeur d’esprit, mon sens du leadership etc… >>.
J’ai finalement accepté, lorsque le dimanche, certains de mes partenaires politiques et moi nous sommes réunis et que les mêmes remarques me sont revenues.
10 – MON PÉCHÉ MIGNON AU SEIN DE UDIR : C’EST D’AVOIR ETE ÉLU COORDINATEUR CHARGÉ DE CONDUIRE LES ÉLECTIONS ET RECADRER LE POSITIONNEMENT SUR LA LISTE NATIONALE.
Depuis mon élection, j’ai été et je suis victime de calomnies de tout genre, de médisances, de fourberies, de manipulations et de haines etc… pire… Bouya KONATE serait allé devant Dr SIDIBE de la CENI pour dire que : Mory est malade et est allé pour des soins à l étranger ( Dr SIDEBE de la CENI peut témoigner ce cynisme ) donc on veut le remplacer.
Il y a un adage malinké qui dit que: <<la teneur de sel qui n’a pas rendu indigeste un poulet entier ne peut pas rendre uniquement sa tête indigeste>>.
CSK group a signé un contrat avec UDIR une année avant l’adhésion de nouveaux groupes.
Je constate avec désolation que mes amis d’hier sont ceux qui me vilipendent aujourd’hui pour des questions de positionnement, d’intérêt.
J’ai été désolé d’apprendre que j’ai utilisé à mes propres fins de l’argent du mouvement Osons pour la Guinée destiné à mener les démarches de création d’un parti politique.
11- LE CAS DES 400 USD soit 2 800 000 GNF (AU MOMENT DES FAITS) RECUS DE HAMIDOU SOW ET DISENT ILS UTILISES POUR MES PROPRES BESOINS
En 2017, Hamidou Sow, Dramane Diawara, d’autres personnes qui se reconnaîtront et moi avions décidé de créer une formation politique. Comme j’étais pratiquement celui qui était en Guinée et avait le temps de la démarche, nous décidâmes de contacter un avocat pour la procédure.
Le montant convenu avec l’avocat était de 15 millions GNF. De ce montant, nous engageâmes 8 millions comme première tranche.
Hamidou Sow envoya 400 us soit 2 800 000 gnf à l’époque et le reste de l’argent fut payé par moi (Recu de 8.000.000 gnf disponible auprès de Hamidou SOW).
J’eu le conseil d’un ministre d’alors en ces termes : << pourquoi ne pas fondre dans un parti et laisser cette procédure qui n’aboutira pas ?>>. (Ce ministre savait tout ce que le MATD entreprenait pour bloquer la création de partis politiques)
Information que j’ai remonté à Hamidou Sow et Dramane Diawara, ensemble, nous décidâmes de renoncer à la procédure engagée auprès de l’avocat qui avait déjà commencé la production intellectuelle.
Pouvions-nous lui retirer le montant payé ?
Les juristes ont cette réponse !
Quelques temps après, nous avons décidé Dramane, Hamidou Sow, d’autres personnes et moi, de faire chemin politique avec le désormais ex ministre Siaka Barry pour fondre dans un parti. C’est là, que Cherif Haidara a été orienté vers moi par Dramane Diawara, et moi à mon tour j’ai présenté ce dernier à Siaka Barry. Alors Pour créer un équilibre de le combat politique, Osons pour la Guinée me proposa d’être président du mouvement au même titre que Siaka Barry de génération Debout.
Je déclinai l’offre et je proposai Cherif Haidara comme ce dernier était présent en Guinée, avec pour garantie de lui apporter mon soutien.
Pendant ce temps, Dieu est témoin, Siaka Barry avait pris la responsabilité de me proposer de coordonner tous les mouvements alliés.
Avec le temps et les actes posés, il y eu des petites divergences entre Siaka Barry et moi. Je commençai à prendre mes distances.
Ah que certains sont légers !
Croyant se faire plaire à Siaka Barry et profiter de la petite distance, les personnes qui parlent encore aujourd’hui de ces choses seraient allées lui dire : << Mory KABA n’est pas sérieux. Il a bouffé les 400 usd engagés par Osons etc… >>.
Informé, j’ai contacté Hamidou Sow qui n’était vraiment pas lié à cette désinformation me salissant et a réitéré que si la procédure n’a pas marché à cause de notre volonté, qu’on devrait subir ensemble la perte.
Alors, quand il y a eu accrochage sur les réseaux entre OSONS et GD jusqu’au divorce, Alpha Diallo est venu me demander pardon pour ces jeunes que j’ai amené auprès de Siaka et qui m’ont abandonné. Il m’a dit de leur pardonner à cause de leur jeune âge et de leur manque d’expérience. J’ai accepté de passer l’éponge.
Après plusieurs moments passés, nous nous retrouvâmes à UDIR sous, bien-entendu, ma direction.
Ce que j’ai envie de poser comme questions en revanche : pourquoi certains jeunes de Osons Pour La Guinée n’ont jamais quitté cette personne devenue << malhonnête >> aujourd’hui, et pourquoi attendre cet instant depuis plusieurs années pour venir brandir cette histoire de 400 usd à UDIR et sur les réseaux croyant déstabiliser Mory KABA? Pourquoi c’est maintenant qu il faut appeler des centaines de personnes dans les inbox pour vouloir ( comme certains ont juré ) déstabiliser celui que vous preniez comme exemple
Pourquoi ils n’ont pas réclamé cet argent et ont continué à planifier des actions politiques avec un « malhonnête »?
12- LA PLAINTE CONTRE MOI ET MA SOIT DISANTE << EXCLUSION >> AU SEIN DE UDIR
Après plusieurs tentatives (pétition pour enlever Mory KABA parce qu’il ne s’entend pas avec Bouya, le destituer parce qu’il est passé le 16 janvier sur les GG, le pousser à la démission parce que CSK group a un problème avec UDIR etc… ) échouées, c’est une citation à comparaître devant le tribunal que je reçois d’un huissier.
Ma grande surprise, c’est de voir la plainte de la citation au nom d’une personne qui n’a plus qualité à engager le parti après la mise en place du comité ad-hoc provisoire, qui remplace tous les organes dirigeants du parti faite par l’Assemblée constituante du 24 décembre 2019 ( Le procès-verbal en fait foi ). Inutile de rappeler que le même soir nous avons procédé à l’élection du Coordinateur Chargé de Conduire les Élections Législatives jusqu’au congrès.
Je rentre en contact téléphonique avec le sieur ( se trouvent à 1 millier de kilomètres précisément à KOYAMA dans la préfecture de MACENTA ) mentionné sur la plainte et lui pose des questions. A son grand étonnement, il me dit n’avoir porté aucune plainte au nom du parti, tout en me faisant des révélations extraordinaires. Puisqu’on n’enregistre pas quelqu’un sans son consentement, je le lui demande. Il me donna son accord et je l’enregistrai pour toutes fins utiles.
Plus loin, je vais chez un huissier de justice, pour l’entendre sur PV devant qui il confirmait (les preuves existent) les mêmes choses sous audition.
Ah la vie… On dit souvent : << dans le rapport humain, celui qui pense tromper son partenaire sera finalement tromper >>.
13- Mon « Exclusion » de UDIR par Alhassane Onipogui.
Le parti UDIR et moi allons divorcer c’est clair. Je partirai de mon gré. Je partirai parce qu’on ne peut bâtir un projet solide avec des engagements faux pris au départ.
Mais aucune personne ne peut m’exclure du parti, surtout pas Alhassane Onipogui qui a cédé le parti (les preuves feront foi ) et n’a plus de responsabilités au sein du parti.
Les seuls qui peuvent me relever de mes fonctions de coordinateur chargé de conduire les élections restent et demeurent les membres de l’assemblée constituante réunis autour de cet ordre du jour avec un quorum des 2/3 des personnes présentes à l’assemblée initiale.
Cette affaire vous réserve assez de dessous et surprises ces jours. On verra la face cachée de ceux qui ont juré de faire condamner Mory KABA par tous les moyens ( relation, argent etc.. ) parce que pour eux :(( la victoire de Mory KABA serait la mort de UDIR, et la victoire de UDIR serait la mort politique de Mory KABA )). Voila la volonté de ceux qui disent de faire la politique autrement.
Que la vérité triomphe
Mory KABA