Monenembo ne se fatigue point de s’attaquer à nos valeurs. Nous ne nous éreinterons pas non plus de lui répondre et de montrer à la face du monde ce visage d’écrivain tribaliste qu’il tente désespérément de dissimuler au vaillant peuple de Guinée.

Dans une tribune remplie d’acrimonie comme toujours d’ailleurs intitulée ‘’Un peuple déshumanisé’’ publiée hier Vendredi ,17 Juillet 2021 ,sur le site de prédilection de tous ceux qui rêvent de voir ce pays à feu et à sang ,ce site d’information qui relaie à cœur joie toutes les critiques amères et insolentes contre le régime du Professeur Alpha Condé ou celui de Sékou Touré, père de l’indépendance de notre pays (paix à son âme).

On a encore bonne souvenance de la sortie malencontreuse de Mamadou Lamine Bah, journaliste écervelé à Lynx Fm, contre Hadja Saran Daraba dont le seul crime, si c’en est un bien sûr, est d’avoir vanté les mérites du premier régime. Cette tribune cousue d’incivilité, d’impertinence et d’insolence de cet individu sans vergogne qu’aucun site responsable ne peut partager, a été relayée par ce même site d’information.

En effet, chaque jour que le Maître de l’Univers, des créatures et du temps fait, Thierno Monenembo donne raison à ceux qui ont toujours soutenu qu’il est tendancieux dans ses prises de position.

Dès qu’il prend un verre de trop, Monenembo vient déverser sa haine dans un torchon. Dans cette énième tribune, il s’en prend à Sékou Touré, au Général Lansana Conté et au Professeur Alpha Condé.

L’auteur des ‘’Crapauds-brousse’’ raconte, comme à l’accoutumée, des insanités sur les régimes qui se sont succédé à la tête de notre pays.

« La Guinée, comme toutes les sociétés avachies est devenu le pays du « n’importe qui et du n’importe quoi.»
Non Thierno Monenembo ! La Guinée n’est pas un pays de « n’importe qui et du n’importe quoi.»

Mais nous comprenons les réactions intempestives de cet agayon au service des causes perdues. Il ne sera véritablement satisfait que lorsqu’une personne des raisons de sa lutte se retrouvera au perchoir de notre patrimoine commun.

À vrai dire, nous aurions certainement compris cet écrivain à la haine viscérale s’il se battait pour des valeurs partagées par tous les guinéens. Malheureusement, toutes ses plumes sont taillées sur mesure.

Bref, cette autre sortie du mauvais garçon de Porédaka est, comme d’habitude, un tir dans l’eau.

Sayon MARA, Juriste